159 - Le devoir de hâter le paiement des dettes du mort et de se presser de
l'apprêter à l'enterrement sauf s'il est mort d'une façon soudaine et, dans
ce cas, on doit le laisser pour bien s'assurer de sa mort :
Selon Housayn Ibn Wahwah (que Dieu l'agrée) , Talha Ibn Al-Barâ Ibn 'Àzeb (que
Dieu l'agrée) tomba malade. Le Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui)
vint lui rendre visite. Il dit : "Je suis convaincu que Talha est mourant.
Attendez la nouvelle de sa mort et hâtez ses funérailles car il ne convient
pas à la charogne du musulman de rester emprisonnée parmi les siens". (Abou
Dâwoûd)